La presse en parle
< Retour aux actualitésLes OTEIZA en famille
Cette soirée qui est aussi partagée par Oteiza sera une grande première : pour la premiére fois aux Internationaux de Saint-Jean-de-Luz, Pierre Oteiza ne sera pas aux fourneaux. Il ne sera même pas présent du tout. Pour une très bonne cause : il est en Chine où il poursuit sa longue tâche pour pouvoir y distribuer ses produits. Les approches ont été lancées depuis plusieurs mois déjà et la réussite est au bout de ce chemin . Comme a été réussie ( elle est opérationnelle ) l'implantation au Canada ( surtout à travers le jambon ) et à Hong Kong. La marque prend une envergure très internationale.
Et comme toujours Pierre Oteiza entraîne dans son sillage toute la vallée des Aldudes. La filière des éleveurs s'agrandit de jour en jour ( plus de 80 aujourd hui ) ce qui permet l'expansion de l'activité export. La nouvelle catégorie « Kintoa » continue de progresser aussi bien ici qu'à l'export. La « troupe » des éleveurs suit le rythme avec plus de 20 producteurs qui se consacrent à ce produit de grande qualité. e site de vente en ligne ( pierreoteiza.com ) continue de bien monter en puissance.
Pierre Oteiza est insatiable car il continue à être aussi partout en France où il porte haut la bannière de la charcuterie basque de haut niveau. Mais tout cela ne lui suffit pas. On se souvient qu'il avait lancé la formule de grands séchoirs ouverts aux particuliers et qui sont pratiquement au taquet ( près de 40 000 jambons stockés). L'aventure continue. Celle de la crèche d'entreprises est en train d'aboutir en partenariat avec les maires de la vallée. Elle sera inaugurée officiellement à Banca en même temps qu'une opération portes ouvertes de la vellée des Aldudes (11/12/13 octobre). C'est tout? Pas vraiment puisque la famille est sur l'ouverture d'une fromagerie aux Aldudes courant 2013.
En attendant, parcequ'il devait rester quelques minutes, chez Oteiza on a créé « Pika Gorri » , un accompagnement de mets, une réduction de cerise qui se marie à merveille avec les crudités, les boudins, les foies gras, les andouilles. « Cela fait chanter les assiettes » nous a-t-on dit. On se souvient que l'an dernier, malgré toutes ces actions, toutes ces réussites, Catherine Oteiza nous disait : « Chez nous c'est toujours comme à l'école : peut mieux faire... » Une philosophie de vie et d'entreprise.
Mais il faut revenir à « l'évènement » du jour : l'absence de Pierre Oteiza aux fourneaux. Pas d'inquiétude. Dans la famille il suffit de demander le fils, Pantxoa. Champion de pelote il est aussi un virtuose en cuisine. Et pour veiller à la bonne marche de la soirée il aura à ses côtés sa mère Catherine sous les yeux attentifs de « tante » Rose. Bref la saga Oteiza a encore de beaux jours à vivre.